Depuis plusieurs années, J'ai développé un travail photographique
sur les deux mégapoles que sont Delhi et Mumbai.
L’Inde exerce sur moi une incroyable attraction par sa capacité à
dépasser les bornes avec une déraison constante, obstinée,
avec cet optimisme à l’envers, ces millions de vies et ses millions
de survies. Je me suis attaché à montrer cette Inde urbaine, contemporaine,
en photographiant dans la rue, en extérieur. J'ai multiplié les départs et les
arrivées, afin de me retrouver dans un état d’étonnement et tenue à garder
cet œil d’animal qui ne s’établira pas. Les deux villes sont immenses, tentaculaires
et l’envie m’a pris de les traverser de part en part, d’en circonscrire l’étendue.
Je suis aller me perdre dans des bouts du monde aux confins de lieux d’une
trivialité qui n’attire jamais le voyageur étranger. Dès lors, la population devient
paysage, comédie, chorégraphie vibrante de mille nécessités.
« Les Indiens ont inventé la fluidité dans le chaos et l’inverse »
Ce diptyque explore le maelström qu’exhibent sans fard Delhi et Mumbai.
En Inde, les chiffres galopent comme des chevaux échappés, à elles deux,
elles représentent plus de la moitié de la population française. L’une est océane
et l’autre terrienne, chacune a sa poésie de boulevard et quai en propre.
Ce travail a fait l'objet d'une publication ( voir actualité) :
"Delhi & Mumbai", ouvrage trilingue ( français, anglais, hindi) où j'ai invité à partager
et prolonger cette vision par des écrits d’auteurs indiens contemporains tels que:
Devdutt Pattanaik, Radhika Jha, Rana Dasgupta, Palash Krishna Mehrotra, Arpita Sinha,
Manu Joseph et le poète Ashok Vajpeyi.
Laurent Ouisse
sur les deux mégapoles que sont Delhi et Mumbai.
L’Inde exerce sur moi une incroyable attraction par sa capacité à
dépasser les bornes avec une déraison constante, obstinée,
avec cet optimisme à l’envers, ces millions de vies et ses millions
de survies. Je me suis attaché à montrer cette Inde urbaine, contemporaine,
en photographiant dans la rue, en extérieur. J'ai multiplié les départs et les
arrivées, afin de me retrouver dans un état d’étonnement et tenue à garder
cet œil d’animal qui ne s’établira pas. Les deux villes sont immenses, tentaculaires
et l’envie m’a pris de les traverser de part en part, d’en circonscrire l’étendue.
Je suis aller me perdre dans des bouts du monde aux confins de lieux d’une
trivialité qui n’attire jamais le voyageur étranger. Dès lors, la population devient
paysage, comédie, chorégraphie vibrante de mille nécessités.
« Les Indiens ont inventé la fluidité dans le chaos et l’inverse »
Ce diptyque explore le maelström qu’exhibent sans fard Delhi et Mumbai.
En Inde, les chiffres galopent comme des chevaux échappés, à elles deux,
elles représentent plus de la moitié de la population française. L’une est océane
et l’autre terrienne, chacune a sa poésie de boulevard et quai en propre.
Ce travail a fait l'objet d'une publication ( voir actualité) :
"Delhi & Mumbai", ouvrage trilingue ( français, anglais, hindi) où j'ai invité à partager
et prolonger cette vision par des écrits d’auteurs indiens contemporains tels que:
Devdutt Pattanaik, Radhika Jha, Rana Dasgupta, Palash Krishna Mehrotra, Arpita Sinha,
Manu Joseph et le poète Ashok Vajpeyi.
Laurent Ouisse
